Brillances laquées, métallisées, irisées, coloris vibrants.
Pourquoi sont-ils devenus incontournables ?
Il y a quelques années encore, à la brillance succédait la matité et on rembobinait le film, pour recommencer le cycle à l’envers…
Cette envie de brillance, quasi permanente, a-t-elle une explication plus profonde :
Notre nouveau rapport à l’image et à la couleur, est-il modifié par le digital ?
La brillance des écrans habitue-t-il notre œil à un certain degré de lumière ?
Par effet de saturation, la tendance qui s’ébauche vers l’extrême matité va-t-elle réussir à s’imposer ?
Les nouvelles performances techniques sur la tenue du mat en maquillage, sur la solidité des peintures mattes semblent œuvrer dans ce sens.